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Mise à jour du 2 juillet : La troisième étape est la première à revenir en France avec un départ à Orchies, célèbre pour son association avec le monument du cyclisme, Paris-Roubaix (voir photo à droite).
Se dirigeant à l’Ouest dans la partie Nord de la France en direction de la côte, la première moitié de l’étape est calme, mais tout change à l’entrée de la région côtière du Boulonnais. Il y a six ascensions de 3ème ou 4ème catégorie dans les 70 derniers kilomètres de la troisième étape, dont quatre dans les 16 derniers kilomètres. Les montées tournantes et étroites rendront l’étape nerveuse, surtout pour les prétendants au classement général qui voudront avant tout finir le jour en un morceau. Les années précédentes, des étapes comme celle-ci dans la première semaine ont mis fin aux espoirs de nombreux coureurs. Et pour couronner le tout, il semble qu’il y a de grands risques de pluie pour l’étape de mardi.
Les derniers 700m dans les rues résidentielles de Boulogne-sur-Mer (photo ci-dessus) ont une pente moyenne de 7,4%, ce qui est plus difficile que l’arrivée de la première étape, donc si une échappée ne réussi pas il faut s’attendre à un sprint en force parmi un petit groupe de punchers comme Philippe Gilbert (BMC), Alejandro Valverde (Movistar), Simon Gerrans (Orica-GreenEdge) et si les jeunes prodiges survivent à la course chaotique vers l’arrivée, Peter Sagan (Liquigas-Cannondale) et Edvald Boasson Hagen (Sky Procycling), qui peuvent prétendre au maillot blanc à l’issue de l’étape.
Sylvain Chavanel a gagné le championnat de France à Boulogne-sur-Mer en 2011 et connaîtra donc bien la région. On peut donc s’attendre à le voir tenter une échappée dans une des quatre ascensions des 16 derniers kilomètres. — Steve (traduction Arnaud Hirtz)
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